Visite Dangereuse et Terrifiante

La journée avait bien commencé. Albus n’avait rien fait de spécial et à la sortie des cours, il avait annoncé aux élèves qu’aujourd’hui était une journée où aller à Pré-au-Lard était autorisé. A vrai dire, il avait envie d’y aller, ses potes avaient tous décidés d’y emmener leurs copines. Or, Albus Dumbledore s’était retrouvé comme un idiot, lui qui n’avait pas de petite amie. Alors il avait refusé d'y aller avec ses potes. Le vieux Sorcier avait cependant besoin de se changer les idées et de voir un peu la lumière du jour, en dehors du grand parc et de ces élèves. Le vieil homme s’était alors préparé et avait mit une cape noire bien chaude, un bonnet et des gants, prêt à partir à l’aventure.

Une fois à Pré-au-Lard, son premier réflexe fut d’aller aux Trois Balais pour boire une bierraubeurre pour se réchauffer un peu. Albus s’assit au bar et salua la nouvelle serveuse, plutôt jolie. Il était seul alors il n’allait pas mettre longtemps. Le temps de boire un verre, il observa la salle. Plutôt miteuse mais pas de Gryffondors à l’horizon et encore moins son frère. Son frère ? Il s'occupe de la Tête de Sanglier, comment pourrait-il être là ? Des fois, il venait. C’était bien la dernière personne qu’il avait envie de voir en ce moment. Une fois sa boisson terminée, Albus repartit. Il visita quelques boutiques puis sortit quand la neige commença à tomber.

Albus - « Merde, il fait pas assez froid comme ça ? »

Ce fut à ce moment là que le vieil homme apperçut la cabane. Il s’approcha et décida d’entrer. Seulement, il ne trouva pas l’entrée. Aucune issus. C’était complètement idiot, la porte était condamnée. Albus vérifia qu’il n’y avait personne autour de lui et lança un puissant « Diffindo ». La vitre se brisa et Dumbledore entra. La maison était très très miteuse, rien à voir avec Poudlard ou les Trois Balais. On aurait dit que personne n’était venue depuis des années. La poussière recouvrait la plupart des meubles. Albus s’installa sur un fauteuil et patienta. Il voulait que la neige s’arrête.

Soudain, il entendit du bruit et sortit sa baguette. Peut-être quelqu'un était-il en haut ?

Tonks était à la cabane hurlante. Cela faisait assez longtemps qu'elle n'y avait plus été. Elle monta à l'étage, et se mit à la fenêtre pour regardé la neige tomber. Au bout d'un moment elle entendit du bruit au rez-de-chaussé. Elle se recula de la fenêtre, elle se mit debout et sortit sa baguette. Elle marcha à pas de loup vers la porte. Il n'y eu plus aucun bruit. Elle colla son oreille pour essayé d'entendre quelque chose mais plus rien. Elle pensa que ce devait être des élèves qui voulait un peu s'amuser, elle retourna à la fenêtre, tout en restant sur ses gardes.

Un gros bruit sourd se fit entendre. Il venait de l’étage. Albus Dumbledore prit sa baguette en main et se leva. Bien sûr, il n'avait pas peur. En réalité, c’était plutôt un courageux. Cette pensée le rassura, au moins, il n’avait pas grand chose à voir avec son idiot de frère. Le Grand Sorcier sortit de la pièce qui semblait autrefois être une salle à manger et arriva dans le couloir, au pied de l’escalier. Devait-il monter ? Cette personne, ou chose, ne devait pas savoir qu’il était là, à moins qu’elle ait entendu le bruit de verre brisé à son entrée dans la maison. Albus Dumbledore décida finalement de continuer son chemin. A vrai dire, il était plutôt curieux de savoir ce que renfermait ce lieu qui l’effrayait à présent mais qui n’avait eu aucun effet sur lui un peu plus tôt. C’était comme ces idiots de moldus quand ils allaient dans les attractions de parc ou quelque chose comme ça, il en avait vaguement entendu parler. Un pas, puis deux. Albus grimpa les escaliers avec précausion. Il avait peur qu’une marche ne craque et émette un bruit qui le trahirait. Heureusement, les marches se montrèrent très compréhensibles.

Mais soudain « CRAC ». Le sol de l’étage, qui était en bois, venait d’émettre ce fameux son révélant sa position. Pour dire vrai, Albus était à deux doigts de prendre ses jambes à son cou et de partir se réfugier ailleurs, malgré la tempête de neige qui commençait à s’intensifier. Saleté de neige. Le vieux sorcier, qui n’entendait aucun bruit, décida d’avancer un peu plus sachant qu’il pouvait toujours faire demi-tour et partir en courant. Sa baguette toujours pointée devant lui, il avança.

Albus Dumbledore - « Lumos. »

Le couloir était peu éclairé. Au moins, là où il s’y retrouvait, c’est que l’ambiance était à peu près semblable aux cachots de Poudlard, froid et humide. Albus, au coin d’un couloir, arriva dans une chambre. Peu éclairée, mais on pouvait y apercevoir un lit pourri et grignoté. Etait-ce une bête qui avait fait ça ? Il observa furtivement toute la pièce, une porte était étalée par terre. Il était persuadé qu’elle était l’auteur de ce bruit. Près à lancer un sort à tout moment, il avança.

Albus Dumbledore - « Y’a quelqu’un..? »

Le courageux sorcier n’était pas sûr de vouloir continuer plus. Sa curiosité le poussa à avancer alors que ses jambes refusaient le mouvement. Il pointa sa baguette vers la porte, au cas où quelqu’un ou quelque chose sortait de cette pièce. On pouvait difficilement apercevoir son visage, on ne voyait que le point lumineux de sa baguette.

Tonks qui avait l'ouïe assez fine attendit des pas monter. Elle retourna près de la porte mais sa maladresse la fit tomber. Elle recula d'un pas.

"Lumos!"

Tonks voyait un peu mieux me couloir. Mais celui-ci était quand même d'un sombre assez profond. D'un coup elle vit une lumière du bout du couloir.

"Nox!"

Tonks éteignit la lumière qui provenait de sa baguette et se mit dos au mur, tout en jettant quelque coup d'oeil dans le couloir. La personne qui était dans le couloir se rapprocha de la pièce où se trouvait Tonks. Quand la personne fut au seuil de l'encadrement de la porte, elle demanda si il y avait quelqu'un. Tonks reconnut la voix du professeur Dumbledore. Elle sortit de sa cachette. Et se mit face au professeur.

Alors que Albus Dumbledore pointait sa baguette en direction de la personne ou de la chose qui se trouvait devant lui, cette dernière tira une trappe pour laisser entrer la lumière et par la même occasion, la neige. Un frisson lui parcourut le dos. Etait-ce parce qu’il avait soudain froid ou parce qu’il avait eu peur ? Personne ne le saura. Quoique les deux solutions sont fortement possibles. Albus se calma -ou presque- quand il apperçut le visage du monstre de la Cabane Hurlante.

Nymphadora Tonks - « Je vois que je ne suis pas la seule à être curieuse.. »

Albus Dumbledore n’abaissa pas sa baguette pour autant. Pourtant le monstre n’avait rien d’un monstre à proprement parlé, c’était une jeune fille aux cheveux roses à ce qu’il pouvait voir. Il était sûr de l’avoir déjà croisé dans les longs couloirs du miteux Poudlard pourtant, il ne souvenait plus de son nom. Ce qui était sûr, c’est que ce n’était pas une Black. Il l’aurait reconnu si ça avait été le cas. Albus s’avança d’un ou deux pas pour laisser son visage apparaître à la lumière également. Son visage n’affichait aucune trace de sourire.

Albus Dumbledore - « T’aurais pas du ouvrir la trappe, ça gèle. »

D’un geste rapide, il la referma. Ils se retrouvèrent de nouveau dans le noir, avec le seul « Lumos » de la baguette du vieux sorcier allumé. Même s’il devait avouer que la jeune fille était plutôt mignone, il ne l’approcherait pour rien au monde. Et si c’était une race impur ? Il ne voulait pas avoir de contact avec eux. Albus recula alors pour observer les meubles de la pièce, sans se retourner, la baguette toujours pointée sur la jeune fille sur qui il jetait un coup d’œil de temps à autre.

Albus Dumbledore - « Dit moi ton nom et ton prénom. T’as raison, tu n’es pas la seule à abuser de la curiosité. »

HJ : DIS PAS QU'ELLE EST MIGNONNE, C'EST MA FEMME !!

Tonks fut surprise de la réaction de Dumbledore. C'était comme si Dumbledore n'était plus lui.

"Professeur Dumbledore, c'est moi, Nymphadora Tonks! Qu'est-ce qui vous prend?"

Tonks ressortit sa baguette.

"Lumos!"

Nymphadora Tonks - « Désolé.. Mais il fait sombre maintenant. »

Oh mon dieu, que c’est grave.

Albus Dumbledore - « Et alors ? Tu flippes ? »

La jeune fille décida d’éclairer la pièce en prononçant un sort qu’il connaissait parfaitement et qu'il avait déjà entendu : Lumos. Maintenant, il faisait moins sombre. Elle avait du avoir peur de lui, sinon elle n’en aurait rien eu à faire après tout. Cette idée le fit gentiment sourire. Albus Dumbledore murmura un « Nox » et sa baguette n’émit plus aucune source de lumière, celle de Nymphadora était largement suffisante.

Nymphadora Tonks - « Professeur Dumbledore, c'est moi Nymphadora Tonks. Qu'est-ce qui vous prend ? »

Oh. Une Adulte. Nymphadora Tonks. Jamais entendu parler. Ou peut-être. Sa mémoire ne lui permettait pas de recituer ce nom et ce visage. Albus Dumbledore décida de s’asseoir sur le lit plus que miteux et craignos. Heureusement, aucune bête n’était plus présente. On aurait dit que par endroit, il était lacéré, comme par des griffes. Non, ça devait être l’effet de son imagination. Il reprit alors ses esprits et regarda la jeune femme, elle était beaucoup plus jeune que lui, elle était une adulte et si il se rapellait bien faisait partie de l'Ordre du Phénix, elle devait sans doute être intelligente et tête d’ampoule.

Albus Dumbledore - « Très bien Nymphadora Tonks. Assis toi. »

Il lui fit signe de s’asseoir dans la chaise qui se trouvait près du mur en face de lui, comme ça ils pourraient mieux converser, à distance. Et si c’était une Sang-de-Bourbe ? Mieux vaut rester prudant. Albus Dumbledore hésita. Devait-il se présenter ou pas ? Ne pas se présenter aurait été impoli, cette idée le séduisa, sauf que se présenter montrait à quelle famille il appartenait, la noble famille des Dumbledore. Il choisit cette dernière solution.

Albus Dumbledore - « Je m’appelle Albus. Albus Dumbledore. »

Retiens bien ce nom, il te sera utile plus tard.

Tonks continuait de pointer sa baguette sur Dumbledore pour qu'elle puisse le voir dans l'obscurité. Elle alla s'asseoir près de lui.

"Professeur, je sais comment vous vous appelez! Et vous m'avez jamais appelé pas mon nom et mon prénom. Vous êtes le seul à qui je laisse m'appeler Nymphadora. Vous ne vous souvenez pas! Et qu'est-ce qui vous prend, vous avez une façon de parler étrange!"

Tonks commença à se méfier de DUmbledore. Il ne ressemblait pas au Dumbledore qu'elle connaissait. Elle pensa d'abord qu'elle avait dû s'endormir, et qu'elle rêvait. Mais tout semblait tellement réel.

Nymphadora Tonks - « Professeur, je sais comment vous vous appelez! Et vous m'avez jamais appelé par mon nom et mon prénom. Vous êtes le seul à qui je laisse m'appeler Nymphadora. »
Albus Dumbledore - « Tant mieux pour toi. »

Le jeune femme n’était pas vexé pour un sous, il était persuadé qu’au fond d’elle, elle avait peur. Peur de quoi ? Bonne question. L’ambiance de la maison se prêtait à tout les cas de figure. Après tout, c’était une fille et elle n'était pas une élève, mais une adulte qui faisait partie de l'Ordre du Phénix. Ces membres de l'Ordre du Phénix sont réputés pour leurs soi-disant courage. C’est vrai qu’il faut être courageux pour être membre après tout, supporter Voldemort et ses mangemorts, c’était plutôt difficile. Si Albus n’avait pas été à Gryffondor dans sa jeunesse, il aurait peut-être mis fin à ses jours. Bref, de toute façon, cette histoire est complètement ridicule puisqu’il était à Gryffondor à son entrée à Poudlard à sa jeunesse et il l'ai resté à sa sortie après sept années d'études. De plus, Albus faisait partie de l'Ordre du phénix car il était à Gryffondor, donc courageux. La noble famille des Dumbledore valait tout les sorciers de la planète.

Nymphadora Tonks - « Vous ne vous souvenez pas ? Vous avez une façon de parler bien étrange! »

La jeune femme qui venait de s’asseoir avait bien deviné, il ne se souvenait pas. Il faut dire que ce n’est pas très difficile à voir et il était sûr qu’elle avait les mêmes raisons qu’il l’imaginait. Albus pouvait apercevoir le regard de la jeune femme, il avait changé. Pourtant il ne pouvait pas vraiment définir cette expression. Qu’était-ce ?

Albus Dumbledore - « Bien deviné. »

Le jeune homme fit tourner sa baguette entre ses mains. Il ne se préoccupa pas de celle de Nymphadora car elle ne représentait pas de danger réel. Elle n’avait aucune raison de vouloir l’attaquer. Albus Dumbledore regarda un peu plus la pièce et remarqua quelques feuilles déchirées par terre. Il vit aussi une grande trace de griffe sur le mur. Etrange. Cette maison était-elle habitée ? Aucune bruit ne se dégageait de la maison. Tout en changeant de sujet, il aborda ce qui lui passait par la tête.

Albus Dumbledore - « Tu penses que cette cabane est occupée ? »

De toute évidence, si elle était occupée, personne ne faisait le ménage.

"Nan professeur, cette maison n'est pas occupée. Enfin, pas encore. Mon époux, Remus, et moi, allons habiter ici! Professeur que vous est-il arrivé?"

Nymphadora Tonks - « Je ne pense pas.. Des animaux doivent venir je pense, ce qui expliquerait ces marques sur les murs, mais pas des humains.. Nan, professeur cette maison n'est pas occupé. Enfin, pas encore. Mon époux, Remus et moi, allons habiter ici. Professeur que vous est-il arrivé ? »
Albus Dumbledore - « Ca c’est sûr, des humains feraient le ménage. Si vous voulez Mme Tonks, je peux vous vendre une maison contre plusieurs centaines de Gallions. Mais ne vous inquiétez pas, Remus est professeur, il gagne de l'argent chaque mois et puis, si vous prenez un poste, vous aussi vous gagnerez des sous. Et comme ça, vous vivrez heureux. Non ? »

Le vieux sorcier profita du peu de lumière pour regarder les meubles, les possibilités de souvenir. Il s’approcha d’un cadre tout poussiéreux. C’était peut-être une photo. D’un geste vif de la main, il enleva la poussière. Non, ce n’était qu’une peinture, elle représentait un homme en train de courir sur la plage. Cette maison a sûrement été occupé il y a très longtemps par des sorciers. Tant mieux, il n’aurait pas voulu rester dans une maison moldue. Albus laissa le cadre de côté et continua son inspection, sans se préoccuper de la jeune femme. Il était sûr qu’elle même ne se préoccupait pas de lui. En marchant un peu dans la chambre, il remarqua aucun passage, seule la fenêtre et la porte qui menait vers le couloir. La fenêtre était cachée par un rideau qu’il tira. Puis il y avait un volet à l’extérieur. Dumbledore tenta de l’ouvrir mais sans succès « Alohomora » Aucun effet. De toute façon, elle était si sale qu’elle ne laisserait pas passer la lumière.

Albus Dumbledore - « Invivable. Inutile. Irrécupérable. »

Sur ce, Albus Dumbledore prit le chemin du couloir et s’apprêta à descendre quand il se rappella soudain d’une certaine jeune femme et d’une certaine tempête de neige. Il remonta alors et passa sa tête à travers l’encolure de la porte.

Albus Dumbledore - « Tu viens ? On inspecte en bas. »

Qu’elle vienne ou pas lui était égal puisqu’il était déjà repartit. Une fois en bas, il constata qu’il faisait un peu plus clair, les fenêtres laissaient passer certains rayons lumineux. Le Vieux Sorcier fit tourner la poignée de la porte et se rendit compte qu’on pouvait très bien l’ouvrir de l’interieur. Il la referma pourtant car la neige n’avait pas cessé de tomber. En voyant la neige entrer par la vitre brisée qu’il avait cassé pour entrer, il n’eut qu’une idée en tête, la réparer.

Albus Dumbledore - « Reparo ! »

Et voilà, chose faite. Albus Dumbledore se dirigea vers la cuisine du rez-de-chaussé. Les placards étaient tous vides, le frigo aussi. Rien.

Albus Dumbledore - « Il n'y a rien ici. Cette maison est abandonnée. »

Dora se leva, et suivit Dumbledore.

"Remus et moi voulons habiter ici et nul part d'autre!"

Le vieux sorcier continuait de fouiller dans les placards quand il entendit d’affreux craquements de marche des escaliers. Nymphadora Tonks ne savait pas vraiment être discrète, il y avait moyen d’éviter ces craquements en marchant sur les côtés mais peut-être qu’elle ne le savait tout simplement pas. Ahlala. Vraiment pas doué. Seuls les Grands Sorciers valaient le coup d’une rencontre. Mais après tout, peut-être se trompait-il sur le compte de la jeune femme ? Bref. Cela restait à voir. Alors que Albus Dumbledore ouvrait une porte d’un placard en dessous du lavabo, il trouva un paquet de sachets de thé. Mouais. Albus essaya de tourner le robinet d’eau mais l’eau courant n’y arrivait absolument plus. Vraiment irrécupérable comme barraque. Totalement inutile. Stupide. Le vieux sorcier claqua la porte du dessous de l’évier dans une bruit sourd et se releva, dépoussiérant son pantalon.

Nymphadora Tonks - « Cette maison devait être belle et agréable en son temps de gloire.. »

Albus Dumbledore tourna soudainement la tête vers Nymphadora qu’il n’avait pas vu entrer dans la cuisine.

Albus Dumbledore - « Tu crois ? »

Nymphadora Tonks - « Absolument Albus !!! »

Mais qu’est-ce qu’il lui prenait ? Venait-il de demander l’avis de quelqu’un ? Et encore plus, d’une futile jeune femme. Il fallait se rattrapper, tout naturellement. Albus s’essuya les mains que la poussière avait atteint et s’avança vers son interlocutrice. Il observa les murs autour de lui, aucune trace de photos de famille ou autre souvenir. On aurait dit qu’elle avait été fuit, désertée. Ou peut-être n’avait-elle jamais été habitée réellement ?

Albus Dumbledore - « Une vraie merde, ouais, aucun doute. »

Le vieil homme pointa sa baguette vers un meuble poussiéreux, prononça clairement la formule « Recurvite » pour enlever le trop plein de poussière et ouvrit le tiroir. Vide également. Le Grand Sorcier commença à s’impatienter, il jeta un regard par la fenêtre et vit que la tempête de neige s’était arrêtée. Il soupira et tourna la tête vers la jeune femme.

Nymphadora Tonks - « Remus et moi voulons habiter ici et nul part d'autre !! »
Albus Dumbledore - « Tu habiteras là où je te le dit. Sale Sang-Mêlé !!! Tu t'est mariée avec sale mari : Lupin. Je vais te tuer. Avada Kedavr ... Nooonn!!! »

Albus Dumbledore se jeta par terre. Il n'arrêtait pas se tortiller *Laissez-moi, criait-il*. Tout à coup, Dumbledore se mit sur le ventre et sur ses mains, ses yeux devenaient de plus en plus noirs. Une boule de fumée se forma à côté de Dumbledore et l'image d'un personnage était représentée dedans.

Nymphadora Tonks - « Lord Voldemort !!! »

Albus Dumbledore - « Oui, c'est bien moi !!! Tu te souvient certainement de la dernière fois, où j'avais pris possession du corps de ton mari Remus ? Et bien là j'ai pris le contrôle de ton cher ami Albus Dumbledore. Quand je contrôlai Remus, j'aivite arrêter de le contrôler. Cette fois, ce sera différent. J'arrêterai de le contrôler quand tu aura détruit son corps, c'est-à-dire quand il sera mort !!! Mouahahahahaha !!!!!!!!!!!!!!!!!

Dora se mit à genoux près de Dumbledore qui était contrôlé par Lord Voldemort.

"Albus, ne pensez pas aux ressemblances que vous avez avec Lord Voldemort. Mais pensez plutôt au différences que vous avez avec lui. Combattez-le!"

Albus était par terre et continuait de se débattre. *Tu n'arriveras jamais à me chasser de tonc orps vieux fou, disait Voldemort dans le corps de Dumbledore*. *Oh que si, pensa Albus Dumbledore* Dumbledore n'arrêtait pas de se tortiller pour essayer de chasser Lord Voldemort, mais il n'y arrivait pas.

Nymphadora Tonks - « Albus! Ne pensez pas aux ressemblances que vous avez avec Lord Voldemort, mais pensez plutôt aux différences que vous avez avec lui. Combattez-le !!! »

Albus Dumbledore tourna soudainement la tête vers Nymphadora d'un air menaçant.

Albus Dumbledore - « J'essaie Nymphadora, mais je n'y arrive pas ... JE VAIS TE TUER !!! Sale Sorcière !!! Sale Sang-Mêlé !!! Sale Traître à ton Sang !!!!! »

Nymphadora Tonks - « Calme toi Albus !!! »

Albus Dumbledore - « Je ne suis pas ce vieux cinglé et timbré de Albus Dumbledore, je suis le Grand Lord Voldemort, le plus grand sorcier du monde !!! Et je vais te le prouver en te tuant !!! »

Nymphadora Tonks - « Nooooooooooooooooonnn !!!!! »

Albus Dumbledore, contrôlé par Lord Voldemort se leva, saisit sa baguette et dit en hurlant :

Albus Dumbledore - « Si, je ne fais pas de pitié !!! Expelliarmus !!! »

Nymphadora fut projetée contre un mur et se releva.

Albus Dumbledore - « Ne t'inquiète pas, ta mort est proche sale Tonks !!! »

Dora se jeta du côté et attrapa sa baguette. Elle se releva aussitôt.

"Stupefix!"

Nymphadora Tonks - « Stupéfix !!!! »

Albus Dumbledore - « Protego ! Tu croyais vraiment que j'allai me laisser faire comme un débutant. Ce n'est pas pour rien que l'on m'appelle Lord Voldemort, le plus Grand Sorcier du monde et que l'on me redoute. Incarcerem !!! »

ADes cordes jaillirent de la baguette d'Albus et emprisonnèrent Nymphadora Tonks.

Albus Dumbledore - « Et maintenant Bloclang !!! »

La langue de Nymphadora se coinca dans son palais. Elle ne pouvait donc plus parler et donc plus jeter de sort. Les cordes en plus la ligotaient.

Albus Dumbledore - « Expelliarmus !!!! »

La baguette de Nymphadora vola de ses mains. Elle ne pouvait donc plus la récupérer et Voldemort la pris à sa place. Il la cassa en deux et la jeta par terre.

Albus Dumbledore - « Maintenant, tu n'as plus de baguette, tu est prisonnières de mes cordes et tu ne peut plus parler. Tu est foutue. Accio Essence. »

Une baril d'essence arriva et Voldemort la prit à la main. Il en mit partout même sur Nymphadora.

Albus Dumbledore - « Maintenant, tu vas mourir !!! Ahahahaha !!! Collaporta !!! »

La porte se ferma et ne poyvait être ouverte que grâce à un Alohomora. Malheureusement, Nymphadora était ligotée, ne pouvait parlée, plus de baguette à la main.

Nymphadora Tonks - « Pourquoi ferme tu la porte à clé ?»
Albus Dumbledore - « Pour mettre le feu et que personne ne vienne te sauver. »
Nymphadora Tonks - « Mais si tu ferme la porte à clé, comment vas-tu t'enfuir après le feu ? »
Albus Dumbledore - « Tu me prend vraiment pour un imbécile.»
Nymphadora Tonks - « Normal, vous en êtes un !!! »
Albus Dumbledore - « SILENCE !!! Tu sais ma jolie les transplanages ça n'existe pas pour rien. »
Nymphadora Tonks - « Nooooooooooooooooonnn !!!! »
Albus Dumbledore - « Et si !!! Lacarnum Inflamare !!! »

Le feu enflama la piste d'essence et se rapprochait de Nymphadora. Déjà, la pièce était en feu. Dumbledore, contrôlé par Voldemort pensa à la place devant la cabane Hurlante et y fut téléporté. Dehors, on pouvait voir le feu qui se trouvait à l'intérieur. La maison étauit en flamme. La maison était foutue. Et le spectacle n'était pas encore finie.

Albus Dumbledore - « Confringo !!! »

ALa maison explosa et vola en confettis avec Nymphadora à l'intérieur. Comment allait Nymphadora ? Etait-elle blessée ? Sachant qu'elle ne peut plus parler grâce au Bloclang, qu'elle est ligotée grâce à Incarcerem et que sa baguette est cassée à côté d'elle.

Les cordes qui entouraient Dora se cassèrent quand il y eu l'explosion. Dora était allongée par terre, évanouit. Elle ne respirait presque plus. Son coeur battait très faiblement. Elle était en train de mourir. Mais personne ne savait qu'elle était là. Personne, à part Dumbledore, sauf qu'il était possédé par Lord Voldemort.

HJ : euh...comment elle a parlé si bloclang?

HJ : elle y envoie par la pensée !!!!

Malheureusement, la maison était en flamme et avait explosée. Normalement, Nymphadora était morte ...

Le coeur de Dora se remit à battre un peu plus vite. Elle put arrivée à ouvrir les yeux mais difficilement. Elle ne vit que des ombres. La cabane hurlante était en train de bruler. Elle espérait à chaque instant que quelqu'un arrive.

Malheureusement, Voldemort avait convaincu Remus de ne pas aller la sauver et Albus était possédé. Elle n'avait aucune chance de s'en sortir à présent ...

Lily se promenait et décida d'allé faire un tour dans la cabane hurlante, lorsqu'une elle senti une odeur de cramé, intrigué, bien qu'éffrayé, elles s'avança a petit pas vers la cabane hurlante, elle avait prit feu, mais Lily ne voyait plus rien personne ne pourais la voir avec toute cette fumé !! même un puissant sorcier comme voldemort ou dubledore n'y verrais rien
( hj: en fait, il ni vois rien même si il a des pouvoirs surnaturelle avec toute la fumé)
- Aguamenti!!!!! hurla-t-elle mais je petit jet d'eau ne parvent pas a éliminé toute les flames mais a les diminué!
-aguamenti !!!!!!! cette fois son jets d'eau fut très puisant, elle appercut que de l'autre côté de la cabane il y avait quelqun mais elle ni prétta pas attention une fois que le feu fut totalement éteind, Lily lança le charme du bouclié tout autour de la cabane, personne ne pourais y rentrer et c'est avec horreur qu'elle vit Tonks a moitier asphicsier.
-Tonks !!!! vous allez bien ??

Tonks était allongée par terre. Elle sentit qu la chaleur se fit moins forte. Elle entendit une voix qui parlait. Cette voix s'adressait à elle. Elle lui demandait si elle allait bien. Tonks voulu répondre mais elle était trop faible et elle avait encore le sort du bloclang. Tonks ne bougeait pas, elle n'y arrivait pas.

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