Etrange Boîte Noire ...

Un dimanche de libre. Un dimanche où le vieux sorcier s’ennuyait, ne trouvant aucun activité digne de ce nom. Errant entre son dortoir et sa salle commune des Gryffondors, io passait d’une chose à une autre sans l’avoir terminé. Ainsi, il régnait sur son lit un b**del inimaginable. Des livres d’écoles étaient éparpillés, mélangés entre les parchemins, les grimoires poussiéreux de la bibliothèque, ces affaires de la veille, et du matériel pour écrire. C’est lors de l’un de ces errements, en caressant distraitement son chat, qui ronronnait, allongée sur un coussin, cerner par des pots d’encre, qu’'il se rendit compte que quelque chose n’allait pas. S’approchant du bout de son lit, vers ses affaires en boule, il vit distinctement des tâches d’encre … Se réveillant d’un seul coup, comme sorti d’un long rêve, Albus vit d’un autre œil le désordre sur son lit. Alors qu’il n’y prêtait auparavant qu’une attention très limitée, il était maintenant affolée par le degré de bazar. S’activant subitement, il enleva ses habits, qu’il mit par terre et commença à ranger…

Vingt minutes plus tard, souriant, il regardait son lit. Ses emprunts de bibliothèque étaient rangé dans sa petite table de chevet, ses affaires d’école étaient elle dans son sac, ou dans un autre tiroir, ces affaires sales dans m’endroit qui leur correspondait et les propres dans sa valise. Si quelqu’un était venu voir son lit, il aurait été impressionné par la propreté dans laquelle il vivait. Pourtant, si cette même personne était venue, à peine une demi-heure auparavant, elle n’aurait pas eu la même idée. Content de son travail, le Grand Sorcier décida de ne pas s’arrêter là, il décida donc de se bouger un peu, et d’arrêter de flemmarder toute la journée. Pour autant, Albus n’était toujours pas d’humeur à faire ses devoirs et décida plutôt d’explorer un peu plus ce château. Bien qu’il en connaissait presque toutes les pièces, il voulut fouiller un peu. Armer d’une détermination nouvelle, Albus se promit qu’avant de partir de Poudlard, il en connaîtrait toutes les salles et tout les passages secrets par coeur, aisni que le moindre recoin de chaque salle. Fort de sa nouvelle résolution, il sortit de son dortoir, puis ensuite de son bureau.

Arrivée dans les couloirs, il décida de monter un peu dans les étages. Mais bien vite, il se trouva à errer. Ainsi, c’est fatigué que Dumbledore rentra dans une salle, en savant ce qu’elle contenait. Lorsqu’il ouvrit la porte, sa fatigue s’envola, comme évaporer. Emerveillé, il regardait la salle devant ses yeux. C’était un endroit magnifique. Comme dans le reste de Poudlard, l’endroit était propre. Les elfes de maisons faisaient leur travail, ils le faisaient même très bien. Ensuite, cet endroit était grand, très grand. Et, à l’inverse de la salle commune de Gryffondor, elle n’était pas surpeuplée. Il y régnait un calme étrange et il ne s’y trouvait presque rien. Ho, il y avait bien des vitrines, où d’où elle était, Albus apercevait des blasons et des coupes, mais c’était tout. Il n’y avait aucune présence humaine. Ce n’était qu’un endroit remplie de … rien. Il n’y avait pas de poussière, ni d’objet en masse. Pourtant, quelque chose incita le vieux sorcier à entrer, à aller voir ce que réservait cette salle. Ce calme reposant lui ferait du bien, et être un peu seul aussi. Alors, il se mit à marcher au hasard dans la salle.

Regardant à droite, à gauche, admirant les médailles et les coupes, il n'apprit rien : l’année dernière c’est Gryffondor qui avait gagné la coupe (et il le savait), ce qui ne risquait pas de se reproduire cette année. Ils avaient trop de retard par rapport à Serpentard. Pas du tout préoccupée par la possible défaite de sa maison, Dumbledore continuait à arpenter la grande salle. Jusqu’à ce qu’il tombe sur une armoire. En bois noire, elle était impressionnante. Pourtant, le vieil homme n’hésita pas une seconde avant d’ouvrit une des portes. A l’intérieur, il n’y avait rien, strictement rien. Ah si, il y avait une petite boîte noire. Dumbledore ce mit sur la pointe des pieds et réussit à l’attrapper. Puis, impatient, il l’ouvrit….